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Roches
extraitesesex |
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Le
calcaire grossier fut la roche la plus exploitée en souterrain.
Il servait de matériel de construction. L'exploitation, tout
d'abord exécutée par la méthode des piliers tournés,
fut poursuivie par la technique des hagues et bourrages. Les blocs
de calcaire étaient extraits via des puits équipés
de treuils, puis transportés sur des charrois.
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Dossier : Exploitation du Gypse-
28/11/07
Le
gypse est extrait au niveau des plâtrières. Il fut extrait
en souterrain sur des hauteurs de plusieurs mètres, malgré
la fragilité de la masse gypseuse. La technique des piliers
tournés, couplée à la poudre noire, furent longtemps
utilisés. Le gypse sert, après passage dans un broyeur
et chauffage, à fabriquer du plâtre.
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Dossier : Exploitation de la Craie-
31/04/06
Elle
fut essentiellement extraite de carrières souterraines appelées
crayères. L'exploitation se fit dans un premier temps de façon
anarchique, puis sous forme de piliers tournés réguliers.
La craie, après broyage et chauffage, permet de fabriquer de
la chaux et du Blanc de Meudon.
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Techniques
en carrières |
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Dossier : Outils et Machines
de Carrier-
10/05/07
Les
carriers exerçaient un métier très dur et mal
vu. Les outils manuels (lance, l'escoude, coin, scie crocodile) sont
longtemps restés inchangés. Par la suite, la mécanisation
a permis d'accélérer le travail notamment avec les haveuses.
Les blocs étaient ensuite manipulés avec des pinces,
crics et treuils de carriers. Les wagonnets et les ponts roulants
ont fini de moderniser ce métier difficile.
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Dossier : Outils du tailleurs de pierres
-14/12/06
(Collaboration
Frontale)
Le
tailleur de pierre travaillait soit dans la carrière, soit
sur les chantiers de tailles. Bien qu'il partageait des outils avec
les carriers, les siens étaient moins massifs. Ces outils sont
très variés et diversifiés (taillant, gradines,
ciseau à pierre, boucharde ...) et permettaient de tailler
le bloc aux cotes. Plusieurs étapes successives étaient
nécessaires; équarrissage, dégrossissage, épannelage
et finition.
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Dossier : Transport des pierres
(chevaux, trains, bateaux)-30/05/08
(Collaboration Vvlt)
Les
blocs issus des carrières devaient être transportés
parfois sur de longues distances. Pendant longtemps, seuls les chevaux
tiraient des tombereaux, charrettes et lourds fardiers. Puis les voies
étroites Decauville et les wagonnets associés firent
leurs apparitions. Les pierres étaient également exportées
par bateaux jusqu'à des ports et gares à pierres.
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Utilisations
des vides de carrières |
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Dossier : Culture du Champignon
de Paris-
14/06/06
Les
carrières souterraines inexploitées ont souvent servi
à cultiver le champignon de Paris. La culture
se faisait sous forme de meules de fumier recouvertes de craon. Puis,
les caisses en bois ont fait leur apparition, très vite suivies
de la culture en sacs plastiques. Les caves, lardées régulièrement,
étaient récoltées à la volée.
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Dossier : Creutes
et 1ère guerre Mondiale-
01/01/09 (Collaboration JP, JF, Pouach)
Lors
de la première guerre, les poilus investirent les anciennes
carrières de l'Aisne surnommées creutes.
Les soldats y réalisèrent de nombreux aménagements,
comme des appartements d'officiers, des postes de commandements ou
encore des postes de secours. Les témoignages lapidaires (sculptures,
gravures, chapelles souterraines) sont nombreux.
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Dossier : Les fresques cataphiles
- Oeuvres célèbres-
01/02/09
Le
microcosme cataphile sous Paris est très actif. La créativité
artistique a engendrées de nombreuses fresques sur les parois
des carrières et galeries d'inspections. Voici, dans un premier
volet, une présentation des reproductions d'oeuvres d'art que
l'on peut trouver. Chaque tableau est identifié et interprété.
Ce travail s'inspire de celui qu'avait entamée Morthicia.
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Les
Aqueducs souterrains |
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Dossier : Généralités
sur les aqueducs-
14/11/06
Les
premiers aqueducs furent construits par les romains. Un aqueduc est
une canalisation souterraine permettant de conduire l'eau des sources
vers une ville, en utilisant la force de gravité. Les passages
de vallées se font grâce aux ponts-aqueducs.
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Dossier : L'aqueduc Médicis
-15/01/07
(Collaboration
Légionnaire)
Cet
aqueduc fut construit à la demande de Marie de Médicis,
afin d'alimenter les jeux d'eau du jardin du Luxembourg. Il capte
les eaux de source de Rungis, traverse les communes de Fresnes, L'Haÿ-les-Roses,
Cachan, pour aboutir à la maison du fontainier à Paris.
Les regards de visites permettaient de contrôler le débit
d'eau qui était mesuré en "pouce de fontainier".
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Dossier : L'aqueduc de Retz-13/04/08
L'aqueduc
de Retz est le plus ancien aqueduc actif de France. Il draine les
eaux de sources au niveau du désert de Retz et conduit l'eau,
via une cunette, jusqu'au château de Saint-Germain-en-Laye.
Son parcours est également ponctué de quatre regards
de visite (Regard Vieux, Dauphine, Hennemont), ainsi que des puisards.
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Textes,
photographies et documents déposés.
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